Résultats de la recherche

Nous avons trouvé 2130 résultats pour votre recherche:
  • Promesses tenues! Bilan annuel positif pour l’engagement des entreprises partenaires

    Le WWF et les entreprises: informations quant aux partenariats: le WWF accompagne certaines entreprises qui souhaitent devenir plus durables, et fixe avec elles des objectifs ambitieux. Une fois par année, il vérifie qu’elles tiennent leurs engagements.    Au cours de l’exercice écoulé, le WWF Suisse a collaboré avec onze entreprises. Il a encadré six d’entre elles durant une phase de profonds changements, pour mieux lutter par exemple contre la déforestation, la surpêche, la pénurie d’eau, le réchauffement du climat et la perte de biodiversité. •    Les entreprises partenaires font d’importants efforts dans le domaine de la protection du climat et dans le renforcement de leurs stratégies en matière de durabilité.•    En revanche, le WWF aimerait les voir s’engager bien davantage dans les domaines de la protection de la biodiversité, de la transparence dans les chaînes de livraison et de l’engagement politique en faveur de l’environnement.•    Les détaillants doivent faciliter le passage des consommatrices et des consommateurs aux alternatives végétales en prenant des mesures ciblées et en élaborant de meilleures offres.  Citations de Thomas Vellacott, directeur général du WWF Suisse:«Sans une nature en bonne santé, l’économie ne peut pas prospérer. Les entreprises ont donc un véritable intérêt à préserver les fondements de leurs activités.»«A long terme, les entreprises qui auront du succès seront aussi celles qui intègrent la protection du climat et de la biodiversité dans leurs activités.»«Je suis heureux de voir qu’un nombre toujours croissant d’entreprises ont conscience de leur responsabilité et qu’elles font davantage pour protéger le climat et préserver la biodiversité. Grâce à notre vaste expertise, nous les accompagnons dans leur transition.»Citations de Tanja Diethelm, coresponsable des relations avec les entreprises au WWF Suisse:«Les partenariats de longue date avec Coop, Migros et Lidl ont permis d’accomplir beaucoup de progrès ensemble. Mais il reste encore beaucoup à faire. Si les détaillants parviennent à examiner de plus près les sources d’approvisionnement en matières premières telles que le soja, l’huile de palme, le café ou le bois, ils peuvent contribuer à une meilleure protection de l’environnement.«Nous aimerions qu’ils soient encore plus ambitieux sur le thème de l’alimentation. La viande est source de nombreux problèmes. Chaque année, environ dix millions d’hectares de précieux paysages naturels sont détruits, surtout dans les pays tropicaux, afin de créer des pâturages destinés aux bovins ou de cultiver le soja comme fourrage. Il existe pourtant des alternatives intéressantes à la viande, que les détaillants pourraient mieux présenter et mettre en avant dans leur publicité afin d’inciter davantage les consommatrices et les consommateurs à les acheter.»L’économie suisse et ses effets sur l’environnementMalgré sa petite superficie, la Suisse se distingue par sa puissance économique. Les grandes entreprises achètent les matières premières dont elles ont besoin à l’autre bout du monde et les revendent sur les marchés internationaux. Les instituts financiers décident dans quels secteurs et dans quels modèles commerciaux ils investissent leur argent. Et comme près de deux tiers de toutes les matières premières sont traitées par des négociants suisses, ces derniers ont eux aussi un immense potentiel pour fixer des normes positives et exiger qu’elles soient respectées. Si les entreprises suisses modifient leurs pratiques – en choisissant par exemple des matières premières de régions déboisées ou en optant pour des moyens de transport alternatifs –, leur potentiel à susciter de réels changements est immense.Pour cette raison, le WWF travaille avec une sélection d’entreprises et les aide à prendre de meilleures décisions, dont nous profitons en fin de compte toutes et tous. Ces «partenariats transformateurs» reposent sur des objectifs ambitieux, comme d’éviter les produits en lien avec la déforestation et de fixer des objectifs contraignants pour la réduction des émissions nuisant au climat. Tandis que des progrès sont enregistrés du côté des objectifs climatiques, le WWF aimerait voir les commerçants de détail s’engager davantage dans deux champs thématiques: il faut d’une part multiplier et améliorer les offres qui facilitent le choix d’alternatives végétales par les consommatrices et les consommateurs. D’autre part, il reste encore beaucoup à faire en matière de biodiversité afin de préserver la diversité de nos espèces. L’ONG encourage ses partenaires à s’impliquer davantage et surtout plus consciemment pour la diversité de la vie sur notre planète. Car chaque insecte qui s’éteint fait partie d’un vaste système circulaire auquel nous appartenons également. La liste ci-dessous donne un aperçu des réalisations récentes des entreprises partenaires du WWF: •    Lidl Suisse et le WWF Suisse collaborent depuis le début de l’année 2017. Au fil du temps, des objectifs ambitieux ont été définis dans le domaine du développement durable et de nombreuses victoires d’étape ont pu être célébrées. Des progrès ont par exemple été réalisés dans le domaine du poisson et des fruits de mer. En 2021, environ 82% de tout l’assortiment de produits de la mer vendus chez Lidl Suisse correspondaient aux exigences minimales du WWF, alors qu’en 2023, ce taux atteignait presque 96%. Vu le succès de cette collaboration, elle est étendue aux 31 pays dans lesquels Lidl est présent.•    En 2023, la collaboration entre Migros et le WWF a été élargie à l’ensemble du groupe Migros. Des «sprints de durabilité» ont entre autres été réalisés avec Migrolino et la Banque Migros afin d’analyser et de promouvoir les thèmes relatifs au développement durable.•    Le partenariat avec Coop est un véritable succès, tout particulièrement dans le domaine des produits de la mer. Alors qu’en 2019, moins de 60% de l’assortiment provenait de sources recommandables selon l’analyse du WWF, ce taux atteignait un peu plus de 77% à fin 2023. Coop a ainsi largement dépassé les exigences minimales du WWF.•    Le WWF soutient Emmi dans la réalisation de ses objectifs en matière de durabilité depuis des années déjà. En 2023, des objectifs spécifiques ont été développés pour le lait durable sur les marchés étrangers les plus importants. Avec un accent clair sur les indicateurs pertinents, comme le climat, Emmi travaille désormais, sur le plan international, à identifier les conséquences écologiques et sociales de ses produits et à les améliorer continuellement.•    Au cours de la première année du projet forestier SIG, au Mexique, des progrès importants ont été réalisés: grâce au relevé complet des surfaces boisées et à l’analyse de l’habitat du jaguar, des zones prioritaires pour des mesures de reforestation ont pu être identifiées. Parallèlement, des pépinières locales ont été mises en place, ce qui a permis de cultiver des centaines de jeunes arbres qui seront bientôt plantés dans les zones concernées. Les communautés locales ont par ailleurs été renforcées, notamment avec des formations sur la surveillance de la faune, de meilleures pratiques dans l’élevage du bétail et la réduction des conflits entre êtres humains et animaux sauvages. Ce projet est un exemple de mesures globales de restauration de la forêt et de protection de la nature au Mexique. •    En 2023, SV Group a progressé dans la réduction de ses émissions de CO2. Grâce à une meilleure planification du nombre de menus et à d’autres mesures ciblées, comme le développement de l’offre végétarienne et végétalienne, l’entreprise de gastronomie et d’hôtellerie a pu encore diminuer ses émissions. Mais elle est loin de se reposer sur ses lauriers. Avec le WWF, elle travaille à l’élaboration d’une stratégie globale et d’un plan de mesures détaillé afin d’améliorer les résultats plus rapidement et plus efficacement encore à l’avenir.•    Depuis 2023, SWICA et le WWF travaillent ensemble sur un projet pionnier d’utilisation régénérative du sol. L’accent est placé sur la renaturation et la valorisation des marais, ainsi que sur le soutien des exploitations agricoles dans la conversion à des pratiques ménageant le sol et respectant davantage l’environnement. Grâce à cette coopération, les deux partenaires œuvrent non seulement en faveur de sols et d’aliments sains, mais veillent aussi à la santé de la population.Le WWF Suisse a également collaboré avec Cornèrcard, Feldschlösschen, Starbucks et la Banque cantonale zurichoise. Les nouvelles informations sur les partenariats ont été contrôlées par PwC. Toutes les entreprises partenaires et le travail effectué avec le WWF sont présentés sur https://www.wwf.ch/en/partner/wwf-partner-for-the-environment-2023Contact: Pierrette Rey, porte-parole du WWF Suisse, pierrette.rey@wwf.ch, 021/966 73 75. 
    /fr/medias/promesses-tenues-bilan-annuel-positif-pour-lengagement-des-entreprises-partenaires
  • Stagiaire en éducation à l’environnement (100%)

    En tant que plus grande organisation suisse de défense de l’environnement et jouant un rôle de premier plan dans le réseau mondial du WWF, nous offrons la possibilité à de jeunes diplômés de mettre en pratique les connaissances acquises durant leurs études ou leur début de parcours professionnel.
    /fr/node/3209
  • Moins de bétail victime du loup en 2024 aussi

    Les chiffres communiqués fin août par les cantons du Valais et des Grisons montrent que le nombre d’animaux de rentes tués par le loup a encore diminué. Et ceci alors que la population lupine continue à légèrement augmenter. Le Valais a enregistré un recul des attaques de 15 % en comparaison avec la même période l’an dernier. Cette baisse atteint même 35 % dans les Grisons. On notait déjà une nette diminution en 2023 par rapport à 2022, donc avant la régulation préventive des loups. Ces chiffres prouvent à nouveau que la protection des troupeaux est efficace.
    /fr/medias/moins-de-betail-victime-du-loup-en-2024-aussi
  • Yacón

    Yacón est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/yacon
  • Chou kale

    Le chou kale est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/chou-kale
  • Partnership with SV (Schweiz) AG 2023

    Together with WWF, SV Schweiz launched the sustainability program “ONE TWO WE” in 2013. At the core of the program are tailor-made sustainability plans for establishments managed by SV Schweiz and raising awareness among guests. 
    /en/partner/partnership-with-sv-schweiz-ag-2023
  • Pak-choï

    Pak-choï est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/pak-choi
  • Radis blanc

    Radis blanc est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/radis-blance
  • Salsifis

    Salsifis est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/salsifis
  • Panais

    Panais est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/panais
  • Catalogna

    Catalogna est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/catalogna
  • Noix commune

    Noix commune est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/noix-commune
  • Champignons de culture

    Les champignons de culture sont des Future Foods. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/champignons-de-culture
  • De la viande, encore et toujours plus de viande

    Malgré les objectifs climatiques, le commerce de détail concentre (quasiment) sa publicité sur la viande durant la saison des grillades, comme le montre une analyse de l’assortiment pour barbecue de six détaillants suisses.En tout, 559 produits pour le barbecue ont été mis en avant dans la publicité. Dans 83% des cas, leur prix était réduit. Les produits carnés dominent le tableau: 80% des articles à griller proposés à prix réduit sont de la viande. Les rabais les plus importants, soit jusqu’à 51%, visaient également ces produits.En tout, 94% des produits faisant l’objet de la publicité étaient d’origine animale, alors que seulement 6% étaient à base de plantes telles que les pois ou le soja.Quand il en va d’objectifs reluisants et de belles paroles, les détaillants suisses font preuve de créativité: ils ont en effet reconnu l’importance de leurs actes pour l’environnement et le climat. Tous – à l’exception de Volg – se sont fixé un objectif climatique reposant sur des bases scientifiques. Les résultats de l’enquête menée par le WWF sur leur offre de produits pour le barbecue révèlent pourtant un paradoxe: durant la saison des grillades, la publicité pour la viande domine. Les produits concernés sont par ailleurs proposés à des prix fortement réduits, un peu comme s’il s’agissait de marchandise sans valeur. La production de viande provoque pourtant d’importantes émissions qui nuisent au climat. Pour atteindre les objectifs climatiques qu’ils se sont fixés, les détaillants devraient vendre nettement moins de viande.L’étude montre que seulement 6% des produits pour grillades mis en avant dans la publicité sont végétaux, par exemple des burgers ou des saucisses à base de soja ou de pois. Quand des rabais sont proposés, la viande tient également le haut de l’affiche. Coop et Denner proposent jusqu’à 51% de rabais sur les produits à base de viande tandis que le rabais le plus élevé pour un article végétal n’est que de 38% chez Lidl.On observe par ailleurs une légère tendance à une augmentation de la présence du fromage à griller. Même si cette évolution peut être interprétée comme un signe de bonne volonté, elle n’est pas très efficace du point de vue de la protection du climat, puisque la production de fromage occasionne elle aussi d’importantes émissions.Citations de Mariella Meyer, experte en alimentation au WWF Suisse: «Les détaillants ont un rôle important à jouer: ils décident des produits qu’ils proposent, présentent et mettent en avant. Ils pourraient contribuer à influencer les décisions d’achat de leur clientèle.»«Les préférences individuelles et le contexte jouent un rôle important dans le choix des aliments, mais les décisions sont marquées par notre environnement alimentaire – les supermarchés, par exemple – et par des facteurs que les consommatrices et les consommateurs ne contrôlent pas comme la disponibilité, le prix, l’accessibilité et la publicité.» «Les détaillants doivent repenser leurs stratégies publicitaires et miser davantage sur des alternatives durables à base de plantes afin d’avoir une influence réellement positive sur le climat.» Pourquoi la consommation de viande est-elle un problème?En Suisse, les effectifs annuels d’animaux de rente sont de 13 millions de poules, 1,5 million de bovins et 1,4 million de porcs, soit presque deux fois plus que la population du pays. Ces effectifs ne sont pas sans conséquences pour la nature et le climat. 85% des émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture – soit 12% de toutes les émissions de la Suisse – sont le fait de l’élevage de bétail. L’énorme quantité de lisier produite par les animaux de rente surcharge les sols et les cours d’eau en nutriments et détruit la biodiversité. Le bétail consomme par ailleurs de grandes quantités de fourrage. En Suisse, 60% des terres cultivées servent donc à produire des aliments pour les animaux, alors qu’elles pourraient être utilisées pour cultiver des plantes destinées directement à la consommation humaine. Cela permettrait de nourrir davantage de personnes avec des aliments produits en Suisse, puisque l’élevage de bétail n’est pas efficace. En effet, le nombre de calories investies dans un animal est supérieur à celui que l’on peut en tirer: en moyenne, sept calories de source végétale sont nécessaires pour produire une calorie de source animale. Du point de vue du WWF, il faut maintenant que les commerçants, les consommatrices, les consommateurs et la politique coopèrent. La politique doit donner les impulsions et définir les lignes directrices nécessaires pour qu’un changement en faveur d’une consommation où dominent les produits végétaux ait lieu. Les commerçants doivent concevoir leur assortiment de manière à atteindre leurs objectifs climatiques et à faciliter le choix de produits de remplacement végétaux pour leur clientèle. Les consommateurs doivent quant à eux prendre des décisions d’achat plus réfléchies. Enfin, nous profiterions toutes et tous d’une réduction des portions de produits d’origine animale dans nos assiettes et de manger, à la place, des aliments qui ménagent le climat. Découvrez l’étude sur les produits pour le barbecue (en allemand uniquement).Contact:  Pierrette Rey>, porte-parole, WWF Suisse,  pierrette.rey@wwf.ch>, 021 966 73 75.   
    /fr/medias/de-la-viande-encore-et-toujours-plus-de-viande
  • Stagiaire en éducation à l’environnement (100%)

    En tant que plus grande organisation suisse de défense de l’environnement et jouant un rôle de premier plan dans le réseau mondial du WWF, nous offrons la possibilité à de jeunes diplômés de mettre en pratique les connaissances acquises durant leurs études ou leur début de parcours professionnel.
    /fr/node/3193
  • La Confédération empêche la mise en œuvre de la législation en vigueur sur la biodiversité

    Aujourd'hui, la Commission de l'environnement du Conseil national a décidé de réduire de 276 millions de francs le crédit pour la protection de la nature prévu par le plan financier pour les quatre prochaines années. Ainsi, la protection de la biodiversité prévue par la loi sera massivement entravée à court terme. Cela contredit diamétralement les promesses que les opposants à l'Initiative biodiversité mettent en avant dans la campagne de votation.  
    /fr/medias/la-confederation-empeche-la-mise-en-oeuvre-de-la-legislation-en-vigueur-sur-la-biodiversite
  • Fève de soja

    Fève de soja est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/feve-de-soja
  • Lupin

    Lupin est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/lupin
  • Pois chiche

    Pois chiche est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/pois-chiche
  • Fève de champs

    Fève est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/feve
  • Patate douce

    Patate douce est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/patate-douce
  • Partnership with Emmi 2023

    Emmi has set the goal of reducing the environmental impact of milk processing. The focus of the collaboration with WWF is on reducing CO2e emissions, decreasing food waste in processing, and working towards more sustainable milk. 
    /en/partner/partnership-with-emmi-2023
  • Other activities with companies 2023

    WWF also works with companies through its employee engagement programme and corporate donations.
    /en/partner/other-activities-with-companies-2023
  • La protection bénévole des troupeaux est dans l’air du temps

    De plus en plus de bénévoles passent à l’action et aident bergères et bergers à protéger leurs bêtes des grands prédateurs. Ce constat ressort d’une analyse des initiatives OPPAL et Pasturs Voluntaris. Des centaines de personnes consacrent une partie de leur temps libre à faire en sorte que la cohabitation entre le loup et le bétail soit possible.
    /fr/medias/la-protection-benevole-des-troupeaux-est-dans-lair-du-temps
  • Lentille

    Lentille est un Future Food. Les Future Foods sont 30 aliments durables et sains que le WWF Suisse promeut. Découvre dans une fiche les valeurs nutritives, les recettes et d'autres faits concernant les Future Foods.
    /fr/futurefoods/lentille
  • Appel: Future Foods dans les rayons

    Appel: Future Foods dans les rayons
    /fr/futurefoods/avenir-dans-les-rayons
  • Nouvelle pyramide alimentaire: les organisations environnementales dénoncent une occasion manquée

    L'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) et la Société Suisse de Nutrition (SSN) ont publié aujourd'hui les nouvelles recommandations nutritionnelles. BirdLife, Greenpeace et le WWF critiquent l’absence d’une recommandation en faveur d’une diminution significative de consommation d’aliments d’origine animale. La mise en œuvre des recommandations nutritionnelles nécessite un cadre politique clair pour la production, la transformation, le commerce et la restauration. 
    /fr/medias/nouvelle-pyramide-alimentaire-les-organisations-environnementales-denoncent-une-occasion-manquee
  • Conseils du WWF pour l’achat d’un sapin de Noël

    Le choix est immense et l’incertitude grande. Quel sapin choisir pour fêter Noël la conscience tranquille? Découvrez nos conseils pour une fête aussi verte que chaleureuse.•  L’idéal est de choisir des variétés indigènes, cultivées près de chez soi et portant un label Bio ou FSC. •  Pour faire encore mieux, renoncez au sapin.•  Ne le remplacez pas par une imitation en plastique, à moins que vous prévoyiez de l’utiliser encore pendant de longues années.Pour bon nombre d’entre nous, le sapin est indissociable de la fête de Noël. Mais comme il finit bien souvent sur le trottoir après seulement quelques jours d’utilisation, on est en droit de se demander comment le choisir pour limiter les dégâts. Vous vous en doutez: pour la nature et l’environnement, la meilleure option est de renoncer complètement à l’achat d’un sapin. Quelques branches joliment décorées peuvent déjà faire tout leur effet. Et si vous ne pouvez vraiment pas vous passer d’un arbre de Noël, Damian Oettli, responsable des marchés au WWF Suisse, conseille de veiller aux aspects suivants:• Présence d’un label: les pesticides sont très utilisés dans la culture des sapins de Noël. Choisissez donc un arbre portant le label Bio ou FSC. Ces sapins sont cultivés sans produits phytosanitaires ni engrais. • Local, de préférence: plus le transport est court, mieux c’est. De plus, un sapin qui vient d’être coupé aura plus longtemps bonne mine. Parfois, il est possible d’aller le couper soi-même à deux pas de chez soi. Ici aussi, les cultures FSC ou Bio sont recommandées.• Préférer des variétés indigènes: choisissez un épicéa, un pin sylvestre ou un sapin blanc. Les sapins Nordmann sont de plus en plus courants, mais ils n’appartiennent pas à nos écosystèmes régionaux. Cultivés dans des plantations, ils contribuent à l’extension des monocultures. Par souci de perfection, ils sont bien souvent traités avec des pesticides. • Les derniers mètres: souvent, le transport du sapin en voiture produit plus de CO2 que n’en retient l’arbre. C’est pourquoi il vaut mieux l’acheter près de chez soi et réduire les distances de transport. • Hop dans le jardin? L’idée d’acheter un sapin en pot pour le replanter par la suite dans son jardin n’est pas toujours bonne. Pour que l’opération ne se solde pas par un échec, le sapin devrait passer le moins de temps possible dans la maison chauffée. La transition entre le froid de l’extérieur et la chaleur d’un intérieur douillet devrait être progressive. Aussi, il ne faut pas oublier d’arroser suffisamment l’arbre. Enfin, il est important qu’il ait été cultivé en pot, ce qui garantit que les racines soient intactes. • Le sapin en plastique, un remplaçant digne de ce nom? Les sapins de Noël en plastique sont pratiques, car ils ne perdent pas leurs aiguilles. Malheureusement, nombre d’entre eux sont fabriqués en Extrême-Orient et ont fait un long voyage pour arriver jusque chez nous. L’élément déterminant pour le bilan écologique d’un sapin artificiel est sa durée d’utilisation, à savoir le nombre d’arbres vivants qu’il remplacera au fil des ans. L’idéal est bien sûr que ce nombre soit le plus élevé possible (plus de 20). Les sapins de Noël en plastique endommagés doivent être jetés avec les ordures ménagères.  Contact: Sophie Sandoz, chargée de communication au WWF Suisse, 021 966 73 71, sophie.sandoz@wwf.ch 
    /fr/medias/conseils-du-wwf-pour-lachat-dun-sapin-de-noel
  • Assistent:e Département CPN (70%)

    Au sein du WWF Suisse, 220 collaboratrices et collaborateurs et plus de 9000 bénévoles œuvrent en faveur de la protection de la nature et de l’environnement. Ensemble, nous protégeons la planète et construisons un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature. Nous respectons la diversité de la nature, tout comme celle des personnes avec qui nous travaillons. Les personnes actives au sein du WWF sont issues de cultures et d’horizons divers. Nous sommes unis par notre mission, notre marque et nos valeurs fondamentales communes : le courage, le respect, l’intégrité et la coopération. Nous obtenons un impact grâce à nos actions orientées résultats, nous sommes curieux et à l’écoute des autres et nous trouvons notre motivation dans la pensée innovante.L'équipe centrale du département Communities and Projects for Nature (CPN) soutient les équipes régionales de collaborateur·rices, de sections et de bénévoles dans la réalisation des objectifs du WWF en Suisse. La mission du département est de préserver et de restaurer la biodiversité en Suisse en impliquant les acteurs locaux, ainsi que les communautés, de soutenir la politique climatique au niveau cantonal et de sensibiliser le public à travers l'éducation environnementale et le bénévolat. 
    /fr/node/3351
  • Inacceptable: le Conseil des États rompt avec les principes fondamentaux du droit de l’environnement

    En supprimant le droit de recours des organisations pour les 16 projets hydroélectriques ancrés dans la loi sur l'électricité, le Conseil des États perturbe le décret d'accélération et fait ainsi taire la voix de la nature. Alors qu'il y a six mois, on avait promis le contraire à l'électorat.
    /fr/medias/inacceptable-le-conseil-des-etats-rompt-avec-les-principes-fondamentaux-du-droit-de-lenvironnement