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Des banques suisses pour la première fois sous la loupe du WWF
En collaboration avec l’agence d’évaluation indépendante Inrate, le WWF Suisse a examiné les banques suisses de détail dans les domaines de l’épargne, des placements, de la prévoyance, des crédits et du financement. La gouvernance d’entreprise a également été prise en compte. Cette évaluation offre, pour la première fois, une vision globale de la politique des 15 plus grandes banques de détail suisses en matière de développement durable.
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OUI à la loi sur l'électricité
Un OUI le 9 juin fera avancer la transition énergétique et garantira à la Suisse un approvisionnement en énergie indigène sûr et respectueux de l'environnement. Engagez-vous avec le WWF dans la campagne de votation pour la nouvelle loi sur l'électricité!
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Merci de votre participation
Le gagnant ou la gagnante sera informé(e) personnellement.
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De précieux ruisseaux et rivières: huit cours d’eau suisses ont été mis à l’honneur
Les cours d’eau naturels sont indispensables à l’être humain et à la nature. C’est pourquoi l’association Rivières Perles et le WWF mettent à l’honneur les communes qui s’engagent pour la préservation de leurs ruisseaux et rivières sauvages. Ces cours d’eau ont été retenus lors de la cérémonie organisée aujourd’hui à Zurich:
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Future Foods Suisse
La monotonie règne dans les assiettes suisses, ce qui a des conséquences sur la santé, le climat et la biodiversité. Notre alimentation a un impact environnemental plus important que les transports ou l’habitat. Pourtant, se nourrir peut aussi être une expérience délicieuse, saine et durable. Le WWF Suisse et la ZHAW vous présentent 30 aliments prometteurs pour l’avenir: les Future Foods
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Schluss. Finito. Terminé: toutes nos ressources sont épuisées
Si toute la population mondiale consommait et vivait comme celle de la Suisse, nous aurions utilisé aujourd’hui toutes les ressources naturelles telles que l’énergie, les terres cultivables, les forêts et les pâturages que notre planète peut renouveler en une année.
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Assez de toasts pour faire deux fois le tour de l’équateur
Environ 170 000 tonnes de pain sont gaspillées chaque année en Suisse rien que dans la restauration, le commerce et les ménages. Si l’on mettait bout à bout des tranches de pain toast, il y en aurait suffisamment pour faire deux fois le tour de l’équateur. Cette image peut sembler absurde, mais elle illustre bien la manière dont nous gaspillons la nourriture.
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Savourer au lieu de jeter
Saviez-vous que souvent, les denrées alimentaires restent consommables au-delà de la date indiquée sur l’emballage? Pour vous aider à identifier sans risque les aliments encore consommables, saisissez le nom du produit dans la barre de recherche ci-dessous. Participez à la lutte contre le gaspillage alimentaire pour protéger le climat et l’environnement.
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Partnership Cornèrcard 2023
For each newly issued WWF credit card, Cornèrcard transfers CHF 50 to the WWF and for each annual renewal, CHF 25. In addition, 0.25% of the purchase sum is transferred to WWF each time the card is used. Cornèrcard covers the contributions to WWF; there are no additional costs for card owners.
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Partnership Feldschlösschen 2023
Feldschlösschen is supporting ‘Forest of the Future’ — a project based on a cooperation between the Canton of Lucerne and WWF since 2021. The aim of the project is to reforest the woodland in a way that makes it more resilient to global warming and improves biodiversity. For every can of ‘Uszit’ beer sold, 2centimes will be going towards the project, which is set to last 6 years.Swiss forests are increasingly suffering from the effects of climate change. Rising average temperatures, changes in precipitation patterns, and more frequent storms are putting pressure on domestic forests. The Canton of Lucerne’s Agriculture and Forestry Service (lawa) has therefore set itself the task of planting young tree species in the forest that are both more resistent to climate change and improve biodiversity in the forest. The financial support that Feldschlösschen is providing for the project will enable the Canton of Lucerne and WWF to reforest an additional area of about 12 hectares, making the quality of the forest in a larger area of the Lucerne forest fitter to cope with climate change and richer in species. Find out more
/en/partner/partnership-feldschlosschen-2023 -
Partnership SIG 2023
SIG joins WWF's Forests Forward program and supports thriving forests around the world.
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2023 Partnership with Starbucks
Starbucks wants to encourage even more people to use a reusable cup and began charging 10 centimes on disposable cups in all Starbucks Coffee Houses in Switzerland in August 2023 to help push customers towards greater sustainability. All the proceeds will go to WWF Switzerland to be used for a number of projects, including ones aimed at reducing plastic pollution in the environment.
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Partnership with the SWICA Healthcare Organisation 2023
In their partnership, SWICA and WWF work together for the health of people and the environment. Our shared conviction: People's health is inextricably linked to the health of our planet. In partnership with WWF, SWICA therefore actively supports important environmental protection projects such as Terra Vital in order to preserve a liveable and healthy environment for present and future generations. SWICA also supports WWF runs throughout Switzerland to encourage people to get out into nature.Thanks to the partnership between SWICA and WWF, WWF members and patrons are eligible for attractive premium discounts on supplementary insurance. More information about this collaboration can be found here.
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Le Conseil national limite le droit de recours des organisations
Aujourd’hui, une coalition de politiciennes et de politiciens bourgeois a limité les droits de la nature. Dans le cas de projets de moins de 400 mètres carrés, les organisations de protection de la nature et du paysage ne pourront plus faire valoir le respect du droit environnemental en vigueur. Le fait que, dans la plupart des cas, elles obtiennent gain de cause devant les tribunaux montre pourtant qu’elles utilisent leur droit de recours en étant conscientes de leur responsabilité.
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Conseils du WWF pour l’achat d’un sapin de Noël
Le choix est immense et l’incertitude grande. Quel sapin choisir pour fêter Noël la conscience tranquille? Découvrez nos conseils pour une fête aussi verte que chaleureuse.• L’idéal est de choisir des variétés indigènes, cultivées près de chez soi et portant un label Bio ou FSC. • Pour faire encore mieux, renoncez au sapin.• Ne le remplacez pas par une imitation en plastique, à moins que vous prévoyiez de l’utiliser encore pendant de longues années.Pour bon nombre d’entre nous, le sapin est indissociable de la fête de Noël. Mais comme il finit bien souvent sur le trottoir après seulement quelques jours d’utilisation, on est en droit de se demander comment le choisir pour limiter les dégâts. Vous vous en doutez: pour la nature et l’environnement, la meilleure option est de renoncer complètement à l’achat d’un sapin. Quelques branches joliment décorées peuvent déjà faire tout leur effet. Et si vous ne pouvez vraiment pas vous passer d’un arbre de Noël, Damian Oettli, responsable des marchés au WWF Suisse, conseille de veiller aux aspects suivants:• Présence d’un label: les pesticides sont très utilisés dans la culture des sapins de Noël. Choisissez donc un arbre portant le label Bio ou FSC. Ces sapins sont cultivés sans produits phytosanitaires ni engrais. • Local, de préférence: plus le transport est court, mieux c’est. De plus, un sapin qui vient d’être coupé aura plus longtemps bonne mine. Parfois, il est possible d’aller le couper soi-même à deux pas de chez soi. Ici aussi, les cultures FSC ou Bio sont recommandées.• Préférer des variétés indigènes: choisissez un épicéa, un pin sylvestre ou un sapin blanc. Les sapins Nordmann sont de plus en plus courants, mais ils n’appartiennent pas à nos écosystèmes régionaux. Cultivés dans des plantations, ils contribuent à l’extension des monocultures. Par souci de perfection, ils sont bien souvent traités avec des pesticides. • Les derniers mètres: souvent, le transport du sapin en voiture produit plus de CO2 que n’en retient l’arbre. C’est pourquoi il vaut mieux l’acheter près de chez soi et réduire les distances de transport. • Hop dans le jardin? L’idée d’acheter un sapin en pot pour le replanter par la suite dans son jardin n’est pas toujours bonne. Pour que l’opération ne se solde pas par un échec, le sapin devrait passer le moins de temps possible dans la maison chauffée. La transition entre le froid de l’extérieur et la chaleur d’un intérieur douillet devrait être progressive. Aussi, il ne faut pas oublier d’arroser suffisamment l’arbre. Enfin, il est important qu’il ait été cultivé en pot, ce qui garantit que les racines soient intactes. • Le sapin en plastique, un remplaçant digne de ce nom? Les sapins de Noël en plastique sont pratiques, car ils ne perdent pas leurs aiguilles. Malheureusement, nombre d’entre eux sont fabriqués en Extrême-Orient et ont fait un long voyage pour arriver jusque chez nous. L’élément déterminant pour le bilan écologique d’un sapin artificiel est sa durée d’utilisation, à savoir le nombre d’arbres vivants qu’il remplacera au fil des ans. L’idéal est bien sûr que ce nombre soit le plus élevé possible (plus de 20). Les sapins de Noël en plastique endommagés doivent être jetés avec les ordures ménagères. Contact: Sophie Sandoz, chargée de communication au WWF Suisse, 021 966 73 71, sophie.sandoz@wwf.ch
/fr/medias/conseils-du-wwf-pour-lachat-dun-sapin-de-noel -
Assistent:e Département CPN (70%)
Au sein du WWF Suisse, 220 collaboratrices et collaborateurs et plus de 9000 bénévoles œuvrent en faveur de la protection de la nature et de l’environnement. Ensemble, nous protégeons la planète et construisons un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature. Nous respectons la diversité de la nature, tout comme celle des personnes avec qui nous travaillons. Les personnes actives au sein du WWF sont issues de cultures et d’horizons divers. Nous sommes unis par notre mission, notre marque et nos valeurs fondamentales communes : le courage, le respect, l’intégrité et la coopération. Nous obtenons un impact grâce à nos actions orientées résultats, nous sommes curieux et à l’écoute des autres et nous trouvons notre motivation dans la pensée innovante.L'équipe centrale du département Communities and Projects for Nature (CPN) soutient les équipes régionales de collaborateur·rices, de sections et de bénévoles dans la réalisation des objectifs du WWF en Suisse. La mission du département est de préserver et de restaurer la biodiversité en Suisse en impliquant les acteurs locaux, ainsi que les communautés, de soutenir la politique climatique au niveau cantonal et de sensibiliser le public à travers l'éducation environnementale et le bénévolat.
/fr/node/3351 -
Inacceptable: le Conseil des États rompt avec les principes fondamentaux du droit de l’environnement
En supprimant le droit de recours des organisations pour les 16 projets hydroélectriques ancrés dans la loi sur l'électricité, le Conseil des États perturbe le décret d'accélération et fait ainsi taire la voix de la nature. Alors qu'il y a six mois, on avait promis le contraire à l'électorat.
/fr/medias/inacceptable-le-conseil-des-etats-rompt-avec-les-principes-fondamentaux-du-droit-de-lenvironnement -
Un appétit aux conséquences fatales: en consommant des poissons carnassiers d’élevage, nous pillons les mers
Notre appétit de poisson carnassier d’élevage comme le saumon, la truite et la daurade a un prix, puisque nous pillons les mers pour produire de la nourriture destinée aux piscicultures du monde entier. Pourtant, des solutions existent pour permettre à chacune et chacun d’entre nous de s’engager davantage en faveur de nos océans.Près des deux tiers des poissons consommés en Suisse sont des espèces carnassières. Situés tout en haut de la chaîne alimentaire, ces prédateurs se nourrissent en effet d’autres poissonsSur les 33 831 tonnes de poisson et de fruits de mer vendues en 2023 dans le commerce de détail, 57% étaient des carnassiers, notamment du saumon (22%) et du thon (21%).La moitié des poissons carnassiers importés provient de piscicultures qui ont besoin de grandes quantités de poissons pêchés en mer pour nourrir leur production. Dans l’ensemble, près de 96 000 tonnes de poissons sauvages sont nécessaires pour couvrir la demande annuelle de poissons d’élevage consommés en Suisse.Au niveau local, les piscicultures suisses produisent presque exclusivement des poissons carnassiers, ce qui a aussi un impact sur les mers du globe. En effet, on estime à trois kilos la quantité de poisson sauvage nécessaire pour produire un kilo de poisson d’élevage suisse.En fin d’année, les ménages suisses inscrivent volontiers le saumon, les sushis et d’autres spécialités à base de poisson à leur menu de fête. Ce moment de plaisir partagé a pourtant sa part d’ombre: dans une nouvelle analyse, le WWF Suisse montre en effet que notre appétit de poissons carnassiers comme le saumon ou la truite pousse les océans aux limites du tolérable. En effet, pour couvrir les besoins des poissons carnassiers d’élevage, des millions de poissons sauvages sont pêchés chaque année dans les mers du globe pour être transformés en farine et en huile de poisson. Dans ces conditions, l’élevage de poissons – longtemps vanté comme la solution au problème de la surpêche – a un impact massif sur les océans.En Suisse, où 97% du poisson consommé doit être importé, deux tiers des importations sont des poissons carnassiers, dont la moitié est issue d’aquaculture. Pour l’élevage des 30 000 tonnes de poisson consommées chaque année dans notre pays, près de 96 000 tonnes de poisson sauvage sont nécessaires. A l’échelle mondiale, un cinquième (ou 22%) du produit total de la pêche maritime est transformé en farine et en huile de poisson, essentiellement pour nourrir des espèces carnassières. Un grand nombre de ces poissons sont pourtant de grande qualité et pourraient être consommés directement par les humains au lieu d’être transformés en nourriture pour leurs semblables.Principaux problèmes liés à l'aquaculture et à la surpêcheComme la demande de farine et d’huile de poisson pour l’élevage de poissons carnassiers est énorme, les populations de petits poissons sauvages riches en nutriments comme les sardines et les anchois se retrouvent sous pression. Ces poissons ne sont pas seulement essentiels pour la biodiversité maritime, mais constituent aussi une source de nourriture importante pour de nombreuses personnes vivant dans les pays du Sud.Citation d'Isabel Jimenez, responsable senior des marchés de produits de la mer au WWF Suisse:«Notre mode de consommation actuel n’est pas durable. Si nous continuons de miser sur le saumon et d’autres poissons carnassiers, nous contribuons non seulement à la surpêche, mais menaçons aussi la sécurité alimentaire dans les régions les plus pauvres.»Savourer plus consciemment et goûter aux alternativesLe WWF Suisse appelle donc les consommatrices et les consommateurs à acheter moins de poissons et fruits de mer et à les remplacer par des produits de substitution plus durables. Ces derniers sont, notamment:• Les algues et les plantes marines: non seulement savoureuses, elles sont aussi intéressantes d’un point de vue écologique.• Les coquillages comme les moules et les huîtres: les conséquences de la culture de ces organismes filtrant l’eau de mer pour les écosystèmes marins sont minimes.• Les poissons pacifiques et les poissons qui ne mangent que rarement leurs semblables: les espèces comme les carpes, les silures ou les tilapias ont besoin de peu de farine ou huile de poisson ou peuvent même s’en passer entièrement. Ces poissons ménagent les ressources, surtout quand ils sont issus d’élevages biologiques ou d’installations d’aquaculture en circuit fermé. • Consommation directe de petits poissons marins issus de populations saines: les sardines, les harengs et les anchois devraient être consommés directement et ne pas être utilisés comme aliment dans l’aquaculture. Puisqu’ils sont plus nutritifs que le saumon et le thon, des portions plus petites sont en principe suffisantes pour assurer une alimentation équilibrée.Nécessité d’agir à tous les niveauxIl existe de nombreuses alternatives nutritives et respectueuses des milieux marins, mais elles sont moins connues que les produits à base de saumon et de thon, fortement mis en avant par les commerçants. Pour un avenir durable, il est toutefois nécessaire que toutes les parties impliquées participent au changement: • La politique: introduction de règles plus strictes pour le poisson et les fruits de mer importés, en particulier ceux issus de l’aquaculture.• L’industrie et le commerce: développement de produits attrayants à base d’espèces moins connues et mise en avant plus active de ces solutions de remplacement. • Les consommatrices et les consommateurs: le poisson et les fruits de mer doivent être considérés comme une délicatesse à savourer occasionnellement et les produits de remplacement ne doivent plus être négligés. Pourquoi ne pas remplacer les sushis au saumon par un hamburger de moules, du caviar d’algues, des pâtes aux sardines ou des beignets de silure?Découvrez le rapport ici (avec guide succinct pour mieux choisir le poisson et les fruits de mer):Contact: Pierrette Rey, porte-parole, WWF Suisse, pierrette.rey@wwf.ch, 021 966 73 75.
/fr/medias/un-appetit-aux-consequences-fatales-en-consommant-des-poissons-carnassiers-delevage-nous-pillons-les -
Climat: grosse gamelle de la Suisse dans le classement climatique par pays
La Suisse perd 12 place et pointe dorénavant à la 33e place dans le Climate Change Performance Index (CCPI) 2025. Cette chute dans le classement s’explique principalement par l’immobilisme observé au niveau de la politique climatique d’ici à 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement rechignent à fixer des objectifs suffisants. Ce classement met en lumière les problèmes de la Confédération en termes de politique climatique, notamment le refus d’appliquer le verdict de la CEDH dans l’affaire des Aînées pour le climat Suisse.
/fr/medias/climat-grosse-gamelle-de-la-suisse-dans-le-classement-climatique-par-pays -
Crise de la biodiversité : le Conseil fédéral publie le plan de l’inaction
Aujourd'hui, le Conseil fédéral a adopté un Plan d'action biodiversité qui ne mérite pas son nom. En effet, au lieu d'actions efficaces pour protéger les bases naturelles de la vie en Suisse, c'est une inaction généralisée qui est prévue face à l'extinction massive programmée des espèces. Sans mesures concrètes et avec un financement dérisoire, ce plan d'inaction ne pourra malheureusement pas apporter de contribution pertinente à la préservation de la biodiversité en Suisse.
/fr/medias/crise-de-la-biodiversite-le-conseil-federal-publie-le-plan-de-linaction -
L’impact des projets internationaux du WWF Suisse
Le WWF Suisse finance et accompagne des projets dans le monde entier pour préserver la nature, qui bénéficient également aux populations locales. Ces projets sont planifiés et mis en œuvre en collaboration avec des bureaux du WWF dans les régions concernées. Tous les projets reposent sur des standards éprouvés, et leur impact est régulièrement évalué.
/fr/limpact-des-projets-internationaux-du-wwf-suisse -
Assistent:e Département CPN (70%)
Au sein du WWF Suisse, 220 collaboratrices et collaborateurs et plus de 9000 bénévoles œuvrent en faveur de la protection de la nature et de l’environnement. Ensemble, nous protégeons la planète et construisons un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature. Nous respectons la diversité de la nature, tout comme celle des personnes avec qui nous travaillons. Les personnes actives au sein du WWF sont issues de cultures et d’horizons divers. Nous sommes unis par notre mission, notre marque et nos valeurs fondamentales communes : le courage, le respect, l’intégrité et la coopération. Nous obtenons un impact grâce à nos actions orientées résultats, nous sommes curieux et à l’écoute des autres et nous trouvons notre motivation dans la pensée innovante.L'équipe centrale du département Communities and Projects for Nature (CPN) soutient les équipes régionales de collaborateur·rices, de sections et de bénévoles dans la réalisation des objectifs du WWF en Suisse. La mission du département est de préserver et de restaurer la biodiversité en Suisse en impliquant les acteurs locaux, ainsi que les communautés, de soutenir la politique climatique au niveau cantonal et de sensibiliser le public à travers l'éducation environnementale et le bénévolat.
/fr/node/3325 -
Assistent:e Département CPN (70%)
Au sein du WWF Suisse, 220 collaboratrices et collaborateurs et plus de 9000 bénévoles œuvrent en faveur de la protection de la nature et de l’environnement. Ensemble, nous protégeons la planète et construisons un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature. Nous respectons la diversité de la nature, tout comme celle des personnes avec qui nous travaillons. Les personnes actives au sein du WWF sont issues de cultures et d’horizons divers. Nous sommes unis par notre mission, notre marque et nos valeurs fondamentales communes : le courage, le respect, l’intégrité et la coopération. Nous obtenons un impact grâce à nos actions orientées résultats, nous sommes curieux et à l’écoute des autres et nous trouvons notre motivation dans la pensée innovante.L'équipe centrale du département Communities and Projects for Nature (CPN) soutient les équipes régionales de collaborateur·rices, de sections et de bénévoles dans la réalisation des objectifs du WWF en Suisse. La mission du département est de préserver et de restaurer la biodiversité en Suisse en impliquant les acteurs locaux, ainsi que les communautés, de soutenir la politique climatique au niveau cantonal et de sensibiliser le public à travers l'éducation environnementale et le bénévolat.
/fr/node/3326 -
Commentaire des organisations environnementales à propos du déclassement du statut de protection du loup
Le 3 décembre 2024, la Convention de Berne a décidé de faire passer le loup de la catégorie des «espèces de faune strictement protégées», de l’annexe II, à celle des «espèces de faune protégées», de l’annexe III. Ceci bien qu’en 2022 et en 2023, des rapports d’expertise scientifiques aient indiqué qu’il était nécessaire de continuer à protéger strictement la plupart des sous-populations de loups d’Europe, étant donné qu’elles restent menacées d’extinction.
/fr/medias/commentaire-des-organisations-environnementales-a-propos-du-declassement-du-statut-de-protection-du -
Mesures d’économies : un coup massif contre la protection de l’environnement
Dans le cadre de son programme d’allègement, le Conseil fédéral propose des coupes massives à partir de 2026 dans la protection de la nature et de l’environnement. Avant même la consultation publique, les Commissions des finances veulent en partie déjà appliquer ces mesures radicales au budget 2025, une décision totalement précipitée. La consultation, qui doit débuter en janvier, ne sera alors plus qu’une farce. L’Alliance-Environnement est alarmée.
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Les flottes certifiées MSC pillent les stocks de sprats
Parce que la pêcherie industrielle danoise et suédoise pille à grande échelle les stocks de sprats en voie d’effondrement en mer du Nord afin de produire de la farine de poisson, le WWF fait opposition à sa nouvelle certification MSC. • Des défauts structurels du référentiel MSC permettent la pêche dans une aire marine protégée, et ce malgré des conséquences considérables pour l’environnement. • WWF: «MSC doit prendre son propre référentiel au sérieux et protéger les espèces importantes d’un point de vue écologique.» Le WWF critique la certification annoncée, par MSC, d’une pêcherie industrielle en mer du Nord dont la finalité est la production de farine de poisson, et a formellement fait opposition contre cette décision. L’organisation de protection de la nature estime en effet que ce cas révèle des défauts structurels et une interprétation erronée du référentiel MSC, ce qui pourrait avoir des conséquences négatives sur la biodiversité en mer du Nord. La pêcherie danoise et suédoise au lançon, au sprat et au tacaud a déjà été certifiée une fois par MSC, mais sous réserve d’améliorations. La certification a expiré au bout de cinq ans, sans que les exigences qui devaient empêcher une pêche excessive aient été satisfaites. Après deux ans de pause, la pêcherie concernée réintègre le programme MSC pour cinq ans, avec les mêmes conditions d’amélioration qu’avant. Citations de Catherine Vogler, experte en matière de pêche au WWF Suisse: «Cette approche douteuse révèle de grandes lacunes dans le référentiel MSC: la flotte de pêche en question doit recevoir le label MSC bien qu’elle exploite des stocks de sprats qui se sont entretemps effondrés, et qu’elle travaille avec des chaluts dans des aires marines protégées. De plus, la pêcherie n'a pas fait ses preuves au cours des sept dernières années. Tout cela ne mérite pas un certificat de durabilité.»«Il est incompréhensible que le référentiel MSC ne tienne pas compte du fait qu'une pêcherie opère dans des aires marines protégées, où les exigences en matière de respect de l'environnement devraient être particulièrement élevées. Cette contradiction nuit à la crédibilité du label.» La protection des espèces de poissons vivant en bancs est inscrite dans les principes du référentiel MSC, car celles-ci jouent un rôle écologique important à la base des écosystèmes marins. Comme le référentiel n’a pas été appliqué correctement dans ce cas, la pêcherie peut prélever beaucoup plus de lançons et de sprats que ce que l’écosystème est en mesure de tolérer. Les bancs de petits poissons sont une source de nourriture importante pour les grands poissons prédateurs comme le cabillaud, mais aussi pour les marsouins, les phoques et les oiseaux marins. Si les lançons et les sprats sont surpêchés, la biodiversité marine de la mer du Nord en fait les frais. La flotte puise 200 000 tonnes de poissons dans l'écosystème de la mer du Nord, qui sont ensuite utilisés pour nourrir le saumon d'élevage, plus tard vendu dans les supermarchés. Les consommatrices et les consommateurs suisses retrouvent donc aussi les produits de cette pêche dans leurs assiettes.Le WWF demande à MSC de protéger les espèces de petits poissons importantes pour l’écologie marine, pas seulement sur le papier, mais aussi dans la pratique. Par ailleurs, il appelle MSC à inscrire la protection des aires marines protégées dans son référentiel. Les flottes concernées doivent d’abord satisfaire aux exigences formulées il y a sept ans avant d’être prises en compte pour une nouvelle certification. Contact: Sophie Sandoz, chargée de communication au WWF Suisse, 021 966 73 71, sophie.sandoz@wwf.ch______Encadré: Comment le WWF perçoit-il le label MSC? D’un point de vue écologique, MSC est actuellement le label le plus sévère pour les poissons sauvages vendus sur le marché. Le WWF considère toutefois que le référentiel MSC a de sérieuses lacunes. Le nombre croissant d’oppositions à des certifications MSC déposées par l’organisation de protection de la nature ainsi que les appels à améliorer le référentiel en sont la preuve. Compte tenu de la pression croissante sur les mers et les océans, MSC doit garantir que son référentiel reflète l’état actuel des connaissances scientifiques et les meilleures pratiques disponibles au niveau mondial. Le WWF attend de MSC qu’il remédie à ses lacunes en appliquant strictement ses propres directives et en les améliorant rapidement où cela est nécessaire. Le WWF continue à s’engager pour que cet objectif soit réalisé.
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Les mesures et les indicateurs pour la protection de la biodiversité manquent en Suisse
A la conférence de l'ONU sur la biodiversité en cours à Cali, les participant·e·s travaillent intensivement sur les indicateurs permettant d'atteindre les objectifs 2030 en matière de biodiversité. Bien que la Suisse milite au niveau international en faveur de critères de mesure clairs, la Confédération éprouve de grandes difficultés à définir elle-même des mesures et des indicateurs efficaces dans son propre pays. La Suisse a manqué le délai de la COP 16 pour remettre son nouveau plan d'action pour la biodiversité et il faut maintenant profiter de cela pour adapter le projet, absolument insuffisant, aux nouveaux indicateurs.
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Le péril sur les espèces s'aggrave - peu de progrès lors de la conférence mondiale sur la biodiversité
La 16è conférence de l'ONU sur la biodiversité s'est achevée samedi matin à Cali, en Colombie, sur une note décevante : malgré l'état alarmant de la situation, les États signataires ne sont pas parvenus à se mettre d'accord sur des points essentiels. Et la Suisse n'a pas apporté sa pierre à l’édifice sous la forme d'un plan d'action national pour sa diversité biologique, ni même sous la forme d'une contribution financière appropriée pour la biodiversité mondiale.
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Moins d’attaques de loups, et pourtant davantage de tirs
Le nombre d’animaux de rente tués continue sa baisse en 2024, malgré une population de loups en augmentation. Cette tendance avait déjà été observée avant le début des abattages massifs de loups de l'hiver dernier. Pourtant, toujours plus nombreux sont ceux visés par une décision de tir. La Confédération et certains cantons mènent une politique déconnectée de la réalité, alors que la loi exige une approche plus mesurée, que la population souhaite.
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Future Foods: des pois moins chiches qu’il n’y paraît
Durables. Délicieux. Sains. Avec ses partenaires Lidl Suisse et Migros, le WWF Suisse place sous les feux de la rampe 30 aliments d’avenir, les Future Foods. Pois chiches, chou kale et Cie jouent en effet un rôle important pour lutter contre la crise climatique. Et pourtant, nous en consommons très peu. Pour quelle raison?
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