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  • Crise de la biodiversité : le Conseil fédéral publie le plan de l’inaction

    Aujourd'hui, le Conseil fédéral a adopté un Plan d'action biodiversité qui ne mérite pas son nom. En effet, au lieu d'actions efficaces pour protéger les bases naturelles de la vie en Suisse, c'est une inaction généralisée qui est prévue face à l'extinction massive programmée des espèces. Sans mesures concrètes et avec un financement dérisoire, ce plan d'inaction ne pourra malheureusement pas apporter de contribution pertinente à la préservation de la biodiversité en Suisse.
    /fr/medias/crise-de-la-biodiversite-le-conseil-federal-publie-le-plan-de-linaction
  • Assistent:e Département CPN (70%)

    Au sein du WWF Suisse, 220 collaboratrices et collaborateurs et plus de 9000 bénévoles œuvrent en faveur de la protection de la nature et de l’environnement. Ensemble, nous protégeons la planète et construisons un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature. Nous respectons la diversité de la nature, tout comme celle des personnes avec qui nous travaillons. Les personnes actives au sein du WWF sont issues de cultures et d’horizons divers. Nous sommes unis par notre mission, notre marque et nos valeurs fondamentales communes : le courage, le respect, l’intégrité et la coopération. Nous obtenons un impact grâce à nos actions orientées résultats, nous sommes curieux et à l’écoute des autres et nous trouvons notre motivation dans la pensée innovante.L'équipe centrale du département Communities and Projects for Nature (CPN) soutient les équipes régionales de collaborateur·rices, de sections et de bénévoles dans la réalisation des objectifs du WWF en Suisse. La mission du département est de préserver et de restaurer la biodiversité en Suisse en impliquant les acteurs locaux, ainsi que les communautés, de soutenir la politique climatique au niveau cantonal et de sensibiliser le public à travers l'éducation environnementale et le bénévolat. 
    /fr/node/3325
  • Assistent:e Département CPN (70%)

    Au sein du WWF Suisse, 220 collaboratrices et collaborateurs et plus de 9000 bénévoles œuvrent en faveur de la protection de la nature et de l’environnement. Ensemble, nous protégeons la planète et construisons un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature. Nous respectons la diversité de la nature, tout comme celle des personnes avec qui nous travaillons. Les personnes actives au sein du WWF sont issues de cultures et d’horizons divers. Nous sommes unis par notre mission, notre marque et nos valeurs fondamentales communes : le courage, le respect, l’intégrité et la coopération. Nous obtenons un impact grâce à nos actions orientées résultats, nous sommes curieux et à l’écoute des autres et nous trouvons notre motivation dans la pensée innovante.L'équipe centrale du département Communities and Projects for Nature (CPN) soutient les équipes régionales de collaborateur·rices, de sections et de bénévoles dans la réalisation des objectifs du WWF en Suisse. La mission du département est de préserver et de restaurer la biodiversité en Suisse en impliquant les acteurs locaux, ainsi que les communautés, de soutenir la politique climatique au niveau cantonal et de sensibiliser le public à travers l'éducation environnementale et le bénévolat. 
    /fr/node/3326
  • Commentaire des organisations environnementales à propos du déclassement du statut de protection du loup

    Le 3 décembre 2024, la Convention de Berne a décidé de faire passer le loup de la catégorie des «espèces de faune strictement protégées», de l’annexe II, à celle des «espèces de faune protégées», de l’annexe III. Ceci bien qu’en 2022 et en 2023, des rapports d’expertise scientifiques aient indiqué qu’il était nécessaire de continuer à protéger strictement la plupart des sous-populations de loups d’Europe, étant donné qu’elles restent menacées d’extinction. 
    /fr/medias/commentaire-des-organisations-environnementales-a-propos-du-declassement-du-statut-de-protection-du
  • Mesures d’économies : un coup massif contre la protection de l’environnement

    Dans le cadre de son programme d’allègement, le Conseil fédéral propose des coupes massives à partir de 2026 dans la protection de la nature et de l’environnement. Avant même la consultation publique, les Commissions des finances veulent en partie déjà appliquer ces mesures radicales au budget 2025, une décision totalement précipitée. La consultation, qui doit débuter en janvier, ne sera alors plus qu’une farce. L’Alliance-Environnement est alarmée. 
    /fr/medias/mesures-deconomies-un-coup-massif-contre-la-protection-de-lenvironnement
  • Les flottes certifiées MSC pillent les stocks de sprats

    Parce que la pêcherie industrielle danoise et suédoise pille à grande échelle les stocks de sprats en voie d’effondrement en mer du Nord afin de produire de la farine de poisson, le WWF fait opposition à sa nouvelle certification MSC.  •    Des défauts structurels du référentiel MSC permettent la pêche dans une aire marine protégée, et ce malgré des conséquences considérables pour l’environnement. •    WWF: «MSC doit prendre son propre référentiel au sérieux et protéger les espèces importantes d’un point de vue écologique.» Le WWF critique la certification annoncée, par MSC, d’une pêcherie industrielle en mer du Nord dont la finalité est la production de farine de poisson, et a formellement fait opposition contre cette décision. L’organisation de protection de la nature estime en effet que ce cas révèle des défauts structurels et une interprétation erronée du référentiel MSC, ce qui pourrait avoir des conséquences négatives sur la biodiversité en mer du Nord. La pêcherie danoise et suédoise au lançon, au sprat et au tacaud a déjà été certifiée une fois par MSC, mais sous réserve d’améliorations. La certification a expiré au bout de cinq ans, sans que les exigences qui devaient empêcher une pêche excessive aient été satisfaites. Après deux ans de pause, la pêcherie concernée réintègre le programme MSC pour cinq ans, avec les mêmes conditions d’amélioration qu’avant.    Citations de Catherine Vogler, experte en matière de pêche au WWF Suisse:    «Cette approche douteuse révèle de grandes lacunes dans le référentiel MSC: la flotte de pêche en question doit recevoir le label MSC bien qu’elle exploite des stocks de sprats qui se sont entretemps effondrés, et qu’elle travaille avec des chaluts dans des aires marines protégées. De plus, la pêcherie n'a pas fait ses preuves au cours des sept dernières années. Tout cela ne mérite pas un certificat de durabilité.»«Il est incompréhensible que le référentiel MSC ne tienne pas compte du fait qu'une pêcherie opère dans des aires marines protégées, où les exigences en matière de respect de l'environnement devraient être particulièrement élevées. Cette contradiction nuit à la crédibilité du label.»  La protection des espèces de poissons vivant en bancs est inscrite dans les principes du référentiel MSC, car celles-ci jouent un rôle écologique important à la base des écosystèmes marins. Comme le référentiel n’a pas été appliqué correctement dans ce cas, la pêcherie peut prélever beaucoup plus de lançons et de sprats que ce que l’écosystème est en mesure de tolérer. Les bancs de petits poissons sont une source de nourriture importante pour les grands poissons prédateurs comme le cabillaud, mais aussi pour les marsouins, les phoques et les oiseaux marins. Si les lançons et les sprats sont surpêchés, la biodiversité marine de la mer du Nord en fait les frais. La flotte puise 200 000 tonnes de poissons dans l'écosystème de la mer du Nord, qui sont ensuite utilisés pour nourrir le saumon d'élevage, plus tard vendu dans les supermarchés. Les consommatrices et les consommateurs suisses retrouvent donc aussi les produits de cette pêche dans leurs assiettes.Le WWF demande à MSC de protéger les espèces de petits poissons importantes pour l’écologie marine, pas seulement sur le papier, mais aussi dans la pratique. Par ailleurs, il appelle MSC à inscrire la protection des aires marines protégées dans son référentiel. Les flottes concernées doivent d’abord satisfaire aux exigences formulées il y a sept ans avant d’être prises en compte pour une nouvelle certification.  Contact: Sophie Sandoz, chargée de communication au WWF Suisse, 021 966 73 71, sophie.sandoz@wwf.ch______Encadré: Comment le WWF perçoit-il le label MSC?    D’un point de vue écologique, MSC est actuellement le label le plus sévère pour les poissons sauvages vendus sur le marché. Le WWF considère toutefois que le référentiel MSC a de sérieuses lacunes. Le nombre croissant d’oppositions à des certifications MSC déposées par l’organisation de protection de la nature ainsi que les appels à améliorer le référentiel en sont la preuve. Compte tenu de la pression croissante sur les mers et les océans, MSC doit garantir que son référentiel reflète l’état actuel des connaissances scientifiques et les meilleures pratiques disponibles au niveau mondial. Le WWF attend de MSC qu’il remédie à ses lacunes en appliquant strictement ses propres directives et en les améliorant rapidement où cela est nécessaire. Le WWF continue à s’engager pour que cet objectif soit réalisé.   
    /fr/medias/les-flottes-certifiees-msc-pillent-les-stocks-de-sprats
  • Tenir les promesses: le Conseil fédéral doit réviser le Plan d’action biodiversité

    Lors de la campagne de votation sur l'Initiative biodiversité, le Conseil fédéral a promis de mieux protéger la biodiversité, fortement menacée, sur la base des lois existantes et en particulier par un deuxième plan d'action. Mais la version provisoire de ce dernier est absolument insuffisante. Si le Conseil fédéral veut tenir ses promesses et préserver nos bases vitales pour les générations futures, il est urgent de réviser ce plan d'action. BirdLife Suisse, Pro Natura et le WWF Suisse ont transmis aujourd'hui au Conseil fédéral les exigences scientifiques en ce sens. 
    /fr/medias/tenir-les-promesses-le-conseil-federal-doit-reviser-le-plan-daction-biodiversite
  • Une tâche titanesque: des centaines de centrales hydroélectriques doivent encore être assainies d’ici cinq ans

    Les centrales hydroélectriques suisses sont encore loin d’être prêtes pour l’avenir: sur les 1000 projets d’assainissement annoncés, seuls 45% d’entre eux sont en cours de planification et 10% sont déjà mis en œuvre ou en cours. C’est ce que montre le rapport sur l’assainissement de la force hydraulique publié aujourd’hui par le Conseil fédéral.    
    /fr/medias/une-tache-titanesque-des-centaines-de-centrales-hydroelectriques-doivent-encore-etre-assainies-dici
  • La majorité de la CEATE-E rompt sa promesse électorale et supprime le droit de recours des organisations

    La majorité de la Commission de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’énergie du Conseil des États (CEATE-E) utilise le projet d’accélération des procédures pour les énergies renouvelables pour vider le droit de recours des organisations de sa substance et étouffer ainsi la voix de la nature. En plus d’affaiblir l’application du droit environnemental, cette décision déséquilibre l’ensemble du projet.
    /fr/medias/la-majorite-de-la-ceate-e-rompt-sa-promesse-electorale-et-supprime-le-droit-de-recours-des
  • À la veille de la Conférence internationale sur la diversité biologique, la Suisse à la traine

    Lors de la Conférence de l’ONU sur la diversité biologique ces deux prochaines semaines, les États membres vont présenter leurs plans nationaux pour sauvegarder la biodiversité. La Suisse se retrouve décrédibilisée, car elle ne dispose pas d’un Plan d’action Biodiversité efficace, doté des mesures indispensables pour protéger les bases naturelles de la vie sur son propre sol.
    /fr/medias/a-la-veille-de-la-conference-internationale-sur-la-diversite-biologique-la-suisse-a-la-traine
  • Moins d’attaques de loups, et pourtant davantage de tirs

    Le nombre d’animaux de rente tués continue sa baisse en 2024, malgré une population de loups en augmentation. Cette tendance avait déjà été observée avant le début des abattages massifs de loups de l'hiver dernier. Pourtant, toujours plus nombreux sont ceux visés par une décision de tir. La Confédération et certains cantons mènent une politique déconnectée de la réalité, alors que la loi exige une approche plus mesurée, que la population souhaite.
    /fr/medias/moins-dattaques-de-loups-et-pourtant-davantage-de-tirs
  • Future Foods: des pois moins chiches qu’il n’y paraît

    Durables. Délicieux. Sains. Avec ses partenaires Lidl Suisse et Migros, le WWF Suisse place sous les feux de la rampe 30 aliments d’avenir, les Future Foods. Pois chiches, chou kale et Cie jouent en effet un rôle important pour lutter contre la crise climatique. Et pourtant, nous en consommons très peu. Pour quelle raison?
    /fr/medias/future-foods-des-pois-moins-chiches-quil-ny-parait
  • Rating WWF de la durabilité 2024: les hautes écoles progressent, l’enseignement est à la traîne

    Les hautes écoles sont des acteurs centraux du développement durable dans la société et l’économie. Aujourd’hui, le WWF Suisse publie son quatrième rating sur le développement durable dans les hautes écoles suisses. Malgré d’importants progrès, en particulier dans les domaines de la gouvernance et de l’exploitation, le développement durable et l’éducation en vue d’un développement durable (EDD) restent sous-représentés dans l’offre de formation et ont besoin d’un encouragement ciblé.
    /fr/medias/rating-wwf-de-la-durabilite-2024-les-hautes-ecoles-progressent-lenseignement-est-a-la-traine
  • Appel à la Confédération et au canton: éradiquer la meute du Parc national va beaucoup trop loin

    L’abattage de l’ensemble de la meute du Parc national ordonné par le canton des Grisons à partir du 1er novembre est totalement disproportionné. Cette décision utilise beaucoup trop la marge de manœuvre offerte par la loi, sans que des alternatives aient été envisagées. Elle ne tient compte ni de la nécessité de mener des investigations plus poussées ni des spécificités du Parc national. Les organisations de protection de la nature appellent la Confédération et le canton à prendre leurs responsabilités sur les plans scientifique, éthique et politique, et à chercher ensemble des solutions mesurées. 
    /fr/medias/appel-a-la-confederation-et-au-canton-eradiquer-la-meute-du-parc-national-va-beaucoup-trop-loin
  • Les mesures et les indicateurs pour la protection de la biodiversité manquent en Suisse

    A la conférence de l'ONU sur la biodiversité en cours à Cali, les participant·e·s travaillent intensivement sur les indicateurs permettant d'atteindre les objectifs 2030 en matière de biodiversité. Bien que la Suisse milite au niveau international en faveur de critères de mesure clairs, la Confédération éprouve de grandes difficultés à définir elle-même des mesures et des indicateurs efficaces dans son propre pays. La Suisse a manqué le délai de la COP 16 pour remettre son nouveau plan d'action pour la biodiversité et il faut maintenant profiter de cela pour adapter le projet, absolument insuffisant, aux nouveaux indicateurs.  
    /fr/medias/les-mesures-et-les-indicateurs-pour-la-protection-de-la-biodiversite-manquent-en-suisse
  • Le péril sur les espèces s'aggrave - peu de progrès lors de la conférence mondiale sur la biodiversité

    La 16è conférence de l'ONU sur la biodiversité s'est achevée samedi matin à Cali, en Colombie, sur une note décevante : malgré l'état alarmant de la situation, les États signataires ne sont pas parvenus à se mettre d'accord sur des points essentiels. Et la Suisse n'a pas apporté sa pierre à l’édifice sous la forme d'un plan d'action national pour sa diversité biologique, ni même sous la forme d'une contribution financière appropriée pour la biodiversité mondiale. 
    /fr/medias/le-peril-sur-les-especes-saggrave-peu-de-progres-lors-de-la-conference-mondiale-sur-la-biodiversite
  • Bilan de la protection des espèces: le WWF désigne les gagnants et les perdants de 2024

    De nombreuses espèces animales et végétales sont menacées par la destruction des milieux naturels, le braconnage et la crise climatique. En 2024 également, le royaume des espèces menacées d’extinction compte de nombreux perdants, dont les coraux, les éléphants de Bornéo, les bantengs, les manchots du Cap, les arbres. En Suisse, ce sont surtout les hérissons, les loups et le carabe doré qui tremblent pour leur survie. Heureusement, il y a aussi des lueurs d’espoir qui montrent que l’engagement en faveur des espèces menacées et des biotopes n’est pas vain. 
    /fr/medias/bilan-de-la-protection-des-especes-le-wwf-designe-les-gagnants-et-les-perdants-de-2024
  • Une alimentation d’avenir? La pyramide alimentaire analysée du point de vue environnemental

    Les recommandations nutritionnelles de la Confédération peuvent contribuer de manière importante à la réalisation des objectifs climatiques de la Suisse, à condition de privilégier les aliments les plus respectueux de l’environnement au sein de la pyramide alimentaire. C’est ce que démontre une analyse commune de Greenpeace Suisse et du WWF Suisse.Le Conseil fédéral s’est fixé pour objectif de réduire l’empreinte carbone de l’alimentation de 25% d’ici 2030 par rapport à 2020 et d’au moins deux tiers d’ici 2050. En septembre 2024, la Confédération a publié de nouvelles recommandations nutritionnelles (voir encadré) qui tiennent compte de critères liés non seulement à la santé mais aussi à l’environnement. Sur mandat de Greenpeace Suisse et du WWF Suisse, les spécialistes des écobilans d’ESU-Services ont analysé dans quelle mesure cette nouvelle pyramide alimentaire permet d’atteindre l’objectif de la Confédération.Le calcul compare l’impact de la consommation moyenne suisse actuelle avec le Planetary Health Diet (un régime élaboré par une équipe internationale de scientifiques pour permettre une alimentation saine et respectueuse de l’environnement dans le monde) ainsi qu’avec deux variantes de la nouvelle pyramide alimentaire (minimale et maximale). Deux scénarios ont été pris en compte dans les recommandations nutritionnelles suisses, car une grande marge de manœuvre est possible. Pour la viande par exemple, la quantité recommandée se situe entre zéro et 360 grammes par semaine. Le calcul tient compte d’une variante maximale, dans laquelle tous les aliments particulièrement néfastes pour l’environnement (en particulier la viande et les produits laitiers) sont consommés dans la quantité maximale recommandée. La variante minimale se base sur l’application la plus écologique des recommandations, c’est-à-dire une alimentation végétarienne, sans viande ni poisson.Les calculs indiquent qu’une alimentation conforme à la variante minimale des recommandations nutritionnelles contribuerait de manière importante à une alimentation respectueuse de l’environnement et aux objectifs climatiques de la Confédération. Cette alimentation a un impact sur le climat deux fois moins important qu’une alimentation avec la variante maximale et deux fois et demie moins important que l’alimentation actuelle. Elle a même moins d’impact sur le climat et l’environnement que le Planetary Health Diet.Des mesures pour une alimentation plus durableLes autorités politiques, les acteurs économiques et les ménages portent tous une responsabilité dans la réduction de l’impact du système alimentaire sur le climat et l’environnement. Un changement nécessite des mesures concrètes de la part de chacun d’entre eux. Il s’agit notamment de supprimer les mauvaises incitations mises en place par la politique, le commerce de détail et la restauration, car celles-ci favorisent un comportement qui va à l’encontre d’une alimentation durable et saine.Mariella Meyer, spécialiste de l’alimentation durable au WWF, résume : «Nous sommes encore loin d’une alimentation conforme aux recommandations nutritionnelles. Ce sont la viande et les produits laitiers qui ont le plus d’impact sur le climat et l’environnement. Pour manger de manière écologique, il faut consommer moins de ces aliments. Les consommateur·trices ne sont pas les seuls à avoir un rôle à jouer. Les autorités politiques et le commerce de détail fixent des conditions-cadres qui déterminent la manière dont nous nous alimentons».«Cette analyse montre qu’un système alimentaire respectueux de l’environnement est possible dans le cadre des recommandations alimentaires. Reste à savoir si les acteurs politiques, le commerce de détail & de gros et les consommateur·trices sont prêts à prendre des mesures courageuses et cohérentes pour que ce changement de consommation soit possible. A cet égard, la politique agricole 2030 est une grande opportunité», indique Barbara Wegmann, experte en consommation chez Greenpeace Suisse.Pour qu’une alimentation saine et durable devienne réalité, il faut:Une politique agricole cohérente qui responsabilise l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement et qui soutient la transition vers un système alimentaire durable, conformément à l’orientation future du Conseil fédéral.Des accords contraignants entre la Confédération et le commerce de détail & de gros ainsi que la restauration, afin de permettre notamment de réduire l’empreinte environnementale de l’assortiment alimentaire en valeur absolue. Les mauvaises incitations doivent être supprimées.De la formation, de la sensibilisation et des alternatives faciles d’accès pour aider le public à modifier leur comportement en matière d’alimentation et de boisson.Un fonds de transformation, qui est un moyen important de soutenir le changement nécessaire. Ce fonds doit réduire les obstacles en créant des incitations financières pour l’évolution sociale et culturelle nécessaires à une production et une consommation durables.----Pyramide alimentaire: une grande marge de manoeuvreL’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) et la Société Suisse de Nutrition (SSN) ont actualisé en septembre leurs recommandations nutritionnelles. Pour la première fois, la durabilité a été prise en compte. Ces nouvelles recommandations nutritionnelles permettent une grande diversité de régimes alimentaires. Si les recommandations quantitatives sont restées en grande partie inchangées, certains groupes d’aliments sont désormais mis en avant: les sources de protéines végétales telles que les légumineuses sont davantage mises en évidence. Un mode d’alimentation végétarien est possible dans le cadre des nouvelles recommandations.Plus d'informations:Rapport “Une alimentation d’avenir?”Recommandations nutritionnelles de la ConfédérationGraphiques et images ContactsBarbara Wegmann, experte consommation, Greenpeace Suisse, barbara.wegmann@greenpeace.org, +41 44 447 41 08Pierrette Rey, porte-parole, WWF Suisse, pierrette.rey@wwf.ch, +41 21 966 73 75Fanny Eternod, porte-parole consommation, Greenpeace Suisse, fanny.eternod@greenpeace.org, +41 78 662 07 31 
    /fr/medias/une-alimentation-davenir-la-pyramide-alimentaire-analysee-du-point-de-vue-environnemental
  • La nouvelle base légale provoque le retrait des recours, mais exige un travail minutieux des autorités en charge de la chasse

    Avec l’entrée en vigueur de l’ordonnance sur la chasse le 1er février 2025, l’abattage du loup est soumis à un nouveau cadre juridique plus clair et plus strict. Comme les recours en suspens concernant la régulation du loup se basaient sur l’ordonnance transitoire, valable seulement jusqu'à la fin de ce mois, les organisations de protection de la nature les retirent et se concentrent sur le respect de la nouvelle base légale par la Confédération et les cantons.
    /fr/medias/la-nouvelle-base-legale-provoque-le-retrait-des-recours-mais-exige-un-travail-minutieux-des
  • Le Conseil national veut un commerce d’indulgences pour les mesures de remplacement et de compensation et restreint le droit de recours des organisations

    Au lieu de mesures de remplacement et de compensation concrètes, importantes pour la nature, le Conseil national veut permettre un commerce d’indulgences sous forme de versements en espèces. Il entend par ailleurs restreindre le droit de recours des organisations. Il renonce néanmoins à l’abroger, comme le souhaitait le Conseil des États.
    /fr/medias/le-conseil-national-veut-un-commerce-dindulgences-pour-les-mesures-de-remplacement-et-de
  • Studying Sustainability

    To tackle major and urgent global challenges such as climate change, biodiversity loss, resource scarcity, and social inequality and to drive the transition to a sustainable society and economy, we need individuals with broad and in-depth expertise and strong practical skills. A sustainability-focused education fosters the necessary understanding of the complex ecological, social, and economic interconnections and enables professionals and leaders to develop future-proof solutions.
    /en/studying-sustainability
  • Étudier la durabilité

    Pour relever les grands défis mondiaux urgents, tels que le changement climatique, la perte de biodiversité, la raréfaction des ressources et les inégalités sociales, et pour accompagner la transition vers une société et une économie durable, nous avons besoin de personnes possédant une expertise large et approfondie ainsi que de solides compétences. Un programme d’études axé sur la durabilité favorise la compréhension nécessaire des interconnexions écologiques, sociales et économiques complexes et permet aux spécialistes et aux dirigeant⸱es de concevoir des solutions pérennes.
    /fr/etudier-la-durabilite
  • Trois, deux, un – on éteint les lumières

    Ce samedi 22 mars, c'est Earth Hour. Entre 20h30 et 21h30, nous éteindrons symboliquement la lumière. Le WWF, qui organise cette manifestation, invite chacune et chacun à laisser libre cours à sa créativité afin d’agir en faveur de notre planète et pour une meilleure protection du climat.
    /fr/medias/trois-deux-un-on-eteint-les-lumieres
  • Le Conseil fédéral sacrifie la protection de la nature et du climat pour des économies

    Le programme d’allégement budgétaire affecte de façon disproportionnée la protection de la nature, du climat et les transports publics, leur faisant porter près d’un quart des mesures d’économie. Le Conseil fédéral détruit ainsi des ressources vitales pour les générations à venir. Les membres de l’Alliance Environnement demandent une analyse d’impact sérieuse et un changement d’optique: ce sont les subventions dommageables à l’environnement et les cadeaux fiscaux qu’il faut supprimer.
    /fr/medias/le-conseil-federal-sacrifie-la-protection-de-la-nature-et-du-climat-pour-des-economies
  • Suppression du droit de recours des organisations: décret d'accélération en difficulté

    Commentaire de presse commun du WWF, de Birdlife et de Pro NaturaLes organisations environnementales sont consternées par la décision de la Commission de l'environnement du Conseil des États de supprimer le droit de recours des associations pour 16 grands projets hydroélectriques. Moins d'un an après le vote sur la loi sur l'électricité, la majorité de la CEATE-E rompt ainsi la promesse du Conseil fédéral et du Parlement selon laquelle «les possibilités de recours des particuliers et des organisations sont maintenues» (brochure explicative sur la loi sur l'électricité, p. 44). Cela affaiblit considérablement l'application du droit environnemental et met tout le projet en péril.Les autres décisions de la commission doivent encore être analysées en détail dès que les documents correspondants seront disponibles.Contacts:Pro Natura: Urs Leugger-Eggimann, directeur, urs.leugger@pronatura.ch, 079 509 35 49BirdLife Suisse: Raffael Ayé, directeur, raffael.aye@birdlife.ch, 076 308 66 84WWF Suisse: Pierrette Rey, port-parole, pierrette.rey@wwf.ch, +41 79 662 47 45 
    /fr/medias/suppression-du-droit-de-recours-des-organisations-decret-dacceleration-en-difficulte
  • Encore plus tôt: le Swiss Overshoot Day a lieu le 7 mai

    Près de trois semaines plus tôt que l’an dernier: la Suisse vit toujours nettement au-dessus de ses moyens. Il est urgent que la politique prenne des mesures correctives.
    /fr/medias/encore-plus-tot-le-swiss-overshoot-day-a-lieu-le-7-mai
  • Future Foods Suisse

    Sind sie bereit für die Tellerwende? Nachhaltig, gesund und fein: Der WWF Schweiz hat in Zusammenarbeit mit der Zürcher Hochschule für Angewandte Wissenschaften Schweizer Lebensmittel für die Zukunft identifiziert – die Future Foods Schweiz. 
    /fr/boutique/future-foods-suisse
  • Le cri d’alarme de la nature: selon le Rapport Planète Vivante du WWF, les populations de faune sauvage ont diminué de 73%

    Ces 50 dernières années, la taille moyenne des populations de faune sauvage observées a décliné de 73% sur la planète. Tout autour du globe, des écosystèmes importants sont par ailleurs sur le point de s’effondrer. Cette tendance catastrophique ressort du Rapport Planète Vivante que le WWF publie aujourd’hui. Cette étude porte sur les tendances de 35'000 populations et sur 5495 espèces d’amphibiens, d’oiseaux, de poissons, de mammifères et de reptiles.Notre système alimentaire et l’aggravation des changements climatiques sont les causes principales de la pression croissante qui s’exerce sur les populations observées.S’agissant des écosystèmes, le recul est le plus important dans les lacs et les rivières (85%), suivis des écosystèmes terrestres  (69%) et marins (56%). Sur le plan régional, les reculs les plus prononcés s’observent en Amérique latine et dans les Caraïbes (95%), en Afrique (76%) et en Asie-Pacifique (60%). Concrètement, on observe une diminution de 57% du nombre de tortues caouannes en Australie et de 65% des dauphins roses de l’Amazone.Points de basculement: à l’échelle mondiale, des écosystèmes importants sont sur le point de franchir des seuils critiques, dont les conséquences s’annoncent irréversibles et potentiellement planétaires. Il est nécessaire de faire plus d’efforts pour protéger et restaurer les écosystèmes, de renforcer l’agriculture régénérative et de prendre nettement plus de mesures dans le domaine de la protection du climat, en premier lieu pour développer les énergies renouvelables et réduire les émissions nuisibles. 
    /fr/medias/le-cri-dalarme-de-la-nature-selon-le-rapport-planete-vivante-du-wwf-les-populations-de-faune-sauvage
  • Commentaire du WWC sur la contribution climatique de la Suisse: précoce, mais insuffisante

    Il est exemplaire que la Suisse ait déjà adopté aujourd'hui ses contributions nationales à la protection du climat (Nationally Determined Contribution, NDC) jusqu'en 2035 et qu'elle les soumette à l'ONU dans les prochains jours. Cependant, le niveau d'ambition est irréaliste et envoie un mauvais signal au niveau mondial.
    /fr/medias/commentaire-du-wwc-sur-la-contribution-climatique-de-la-suisse-precoce-mais-insuffisante
  • Partnership with Simon-Kucher

    Simon-Kucher, a global consultancy firm, provides strategic consulting services to WWF through a pro bono partnership. This collaboration aims to empower WWF offices worldwide to develop and implement transformative corporate partnerships.
    /en/partner/partnership-with-simon-kucher