Nos projets

Les ruisseaux et les rivières offrent un habitat à de nombreux animaux et plantes rares. Pourtant, seuls quelques cours d'eau sont encore en bonne santé. Le WWF s'engage pour nos rivières et demande la protection des eaux les plus précieuses.

Les Camps Nature WWF offrent aux enfants et aux jeunes des moments de plaisir illimité et des enseignements instructifs en pleine nature.

Au printemps 2019, la RTS lance la «Mission B» afin de protéger la biodiversité. Le WWF Suisse soutient cette action participative d’envergure.

Bien que les marais n’occupent que 3% de la surface de la Terre, ils stockent deux fois plus de carbone que les forêts. C’est la raison pour laquelle le WWF Suisse s’engage pour protéger ces zones sensibles. 

Pour la nature, l’agriculture et la société: des agricultrices et agriculteurs travaillent main dans la main avec des bénévoles du WWF et favorisent la biodiversité dans nos paysages cultivés.

Nos pratiques agricoles ont un impact colossal sur la nature et la biodiversité. Le WWF Suisse s'engage donc pour une agriculture qui produit des produits sains, de saison et respectueux de l'environnement.

Le WWF s’engage dans les Alpes pour des forêts vivantes. En partenariat avec les agriculteurs et les forestiers locaux, il éclaircit les forêts et crée des voies de passage entre les habitats naturels.

Le WWF plante des arbres fruitiers à haute-tige dans les Grisons, ce qui favorise la biodiversité tout en égayant le paysage rural.

Les grandes lignes de la politique énergétique sont décidées à Berne. Les communes jouent toutefois un rôle clé dans la mise en œuvre du tournant énergétique et peuvent faire office de modèle.

Le gypaète barbu reconquiert les Alpes. Le projet international du WWF et de ses partenaires visant à réintroduire ces oiseaux fascinants est une histoire à succès. Avec un total de 138 jeunes gypaètes à l'envol depuis la première reproduction réussie en 2007, la Suisse est en tête des pays alpins. 

Les effets du réchauffement climatique sur les écosystèmes sont tels que leurs conséquences pour la faune, la flore et l'humanité sont bien visibles. En opérant vite et efficacement, nous pouvons toutefois agir sur l'ampleur et le cours de ces bouleversements. C'est l'un des objectifs principaux du WWF.

Il y a plus d'un siècle, le Rhin était le principal cours d'eau d'Europe abritant des saumons. Aujourd'hui, centrales hydroélectriques et autres installations empêchent leur migration. Le WWF lutte en première ligne pour son retour et lui ouvre le passage jusqu'au bassin versant supérieur.

Le loup, l'ours et le lynx font peu à peu le retour en Suisse. Le WWF œuvre pour leur retour et agit pour favoriser une cohabitation pacifique entre l'homme et l'animal.

En aménageant des zones protégées pour les poissons, le WWF préserve l’immense diversité des espèces du Mékong et renforce la sécurité alimentaire des communautés villageoises au Laos et en Thaïlande.

Le climat se réchauffe et il devient donc vital de refroidir les bâtiments dans plus en plus de régions du monde. L'initiative Cool and Solar du WWF s'attaque précisément à cette interaction: elle promeut le refroidissement durable et le développement de l'énergie solaire.

Les baleines parcourent des milliers de kilomètres entre leurs différents habitats.  Afin de protéger les baleines, le WWF s'engage pour des routes de migration sûres, appelées «corridors bleus».

Le Mexique fait partie des pays qui enregistrent les plus fortes pertes de surfaces forestières naturelles. C’est pourquoi le WWF s’engage avec ses partenaires pour protéger durablement l’habitat du jaguar.

En Tanzanie, le WWF s'engage avec les populations locales pour une protection durable des forêts. L'objectif est de préserver l'habitat de nombreux animaux sauvages et les moyens de subsistance de la population locale.

Le tourisme est l’un des principaux secteurs d’activité économique au Cambodge. Mais il est aussi très gourmand en énergie. Le WWF s’associe aux communautés locales et s’engage pour établir des dispositifs de production d’énergie solaire et des appareils de refroidissement efficaces dans les hôtels et les complexes écotouristiques. 

Le parc national de Chiribiquete, dans l’Amazonie colombienne, fait partie des plus grands du monde à se trouver dans la forêt tropicale. Il est également inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Malheureusement, la déforestation fait rage autour du parc, plus que partout ailleurs en Colombie. Le WWF s’engage donc aux côtés de la population locale et des autorités pour protéger et replanter les arbres abattus.

Le Barefoot College de Madagascar forme de futures ingénieures en énergie solaire. Ce projet soutenu par le WWF permet aux régions rurales de l’île d’avoir accès à l’électricité de sources renouvelables.

La population dans la zone tampon de la réserve d’Iténez en Bolivie vit de la forêt, en symbiose avec cet habitat exceptionnellement riche. Soutenue par le WWF, elle assure ses revenus tout en préservant la nature. 

La zone de conservation transfrontalière du Kavango-Zambèze (abrégée KAZA) est la plus grande de ce genre sur le continent africain et abrite une riche faune sauvage, dont des éléphants et des lions. Le WWF s’associe à la population locale pour que la cohabitation avec les animaux en liberté fonctionne et pour améliorer les connexions entre les zones sous protection.

La restauration de forêts détruites et endommagées profite au climat, à la biodiversité et à la population. Le WWF participe à un mouvement mondial et soutient la «Forest Landscape Restoration Initiative» qui vise à rétablir les paysages forestiers sur le terrain, avec le concours de la population locale.

Les habitants des villages côtiers capturent de moins en moins de poisson, pourtant indispensable à leur subsistance. La surexploitation des mers et des océans est une catastrophe tant sociale qu’écologique. Avec la Coastal Communities Initiative, le WWF s’engage pour des méthodes de pêche plus durables, une meilleure protection des côtes et l’amélioration des conditions de vie dans les villages de pêcheurs.

Chaque printemps, des centaines de baleines bleues se rassemblent au large de Guafo pour élever leurs petits. Yacqueline Montecinos du WWF Chili travaille à l'établissement d'une zone protégée indigène autour de Guafo. Les Mapuches doivent pouvoir y vivre à nouveau selon leurs traditions et en harmonie avec la nature. Cela profitera également aux baleines bleues et donc au climat.

Un camion par minute: c'est la quantité de déchets plastiques qui se retrouvent dans nos océans. Les déchets constituent un danger mortel pour de nombreux animaux et un problème mondial. Le WWF s'est donc engagé à trouver des solutions durables au problème des déchets dans le monde entier.

Dans les forêts du Dawna Tenasserim, en Thaïlande et au Myanmar, les interventions humaines soumettent toutefois ces écosystèmes à une pression croissante. Sur place, le WWF s’engage avec les populations locales pour une exploitation durable de la forêt. L’accent est sur la protection de la plus grande population de tigres d’Asie du Sud-Est et sur les éléphants d’Asie. 

La panthère de Perse a pratiquement été éradiqué dans le Caucase, de sorte qu’au début du XXIe siècle, on ne savait plus s’il en restait dans la région. Cela fait maintenant vingt ans que le WWF collabore avec des partenaires locaux pour protéger l’animal dans la région. Avec succès: au début de l’année 2020, dix panthères adultes et trois jeunes ont été aperçues dans le Caucase du Sud.

Les forêts tropicales des hautes terres du nord de Madagascar sont d’une grande importance pour l’ensemble de l’île et abritent des espèces menacées comme le sifaka soyeux. Mais la déforestation et le braconnage détruisent cet habitat unique. Le WWF s’engage avec la population locale pour améliorer ses conditions de vie et protéger la forêt.